Au Cameroun, le « Bataillon d’intervention rapide », une unité d’élite de 5 000 soldats, est soupçonné des pires exactions dans des « chambres de torture secrètes ». Ces forces spéciales sont équipées et formées par la France. Lire ici Mediapart BIR
Question à l’assemblée Nationale française au sujet du génocide anglophone au Cameroun
Question à l’assemblée Nationale française au sujet du génocide anglophone au Cameroun Ministère interrogé > Europe et affaires étrangères Ministère attributaire > Europe et affaires étrangères Rubrique > politique extérieure Titre > Situation en Ambazonie Question publiée au JO le : 29/01/2019 page : 783 Réponse publiée au JO le : 19/02/2019 page : 1673 Texte de la question M. Frédéric Reiss interroge M. le […]